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La Motion Pictures Association of America (MPAA) : la classification américaine des films ou la censure moderne : Différence entre versions

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Toutefois, à ses débuts, le code ne faisait peur à personne et les studios jouaient à le contourner, puisque la vérification de la conformité des films au Code était faite par la détermination de si oui ou non un film était en accord avec “l’esprit et la lettre du code”, ce qui était bien trop vague pour que les producteurs ne contournent pas les règles.<ref>respect du code</ref>
 
Toutefois, à ses débuts, le code ne faisait peur à personne et les studios jouaient à le contourner, puisque la vérification de la conformité des films au Code était faite par la détermination de si oui ou non un film était en accord avec “l’esprit et la lettre du code”, ce qui était bien trop vague pour que les producteurs ne contournent pas les règles.<ref>respect du code</ref>
 
  
 
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* [http://www.mpaa.org/ratings/what-each-rating-means]Site de la MPAA, définition des ratings
  
 
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Version actuelle en date du 1 juillet 2011 à 10:48

Introduction

Partout dans le monde, les pays classifient les film à leur sortie au cinéma afin de protéger la jeunesse, et d’aider les parents dans le choix des films qu’ils montrent à leurs enfants.

En France, par exemple, elle est effectuée par le centre national du cinéma et de l’image animée et comporte six catégories : tous publics, avertissement, interdit aux moins de 12 ans, interdit aux moins de 16 ans, interdit aux moins de 18 ans non classé X, interdit aux moins de 18 ans classé X.

Aux Etats-Unis, c’est la Motion Pictures Association of America, ou MPAA qui classifie les films, en cinq catégories : G, PG, PG-13, R, NC-17.

C’est un organisme totalement privé et indépendant du gouvernement ,dont les décisions n’ont aucune force juridique, mais qui dispose pourtant d’un pouvoir considérable et dont les classsifications impactent énormément la vie des films, notamment au niveau économique, et de ce fait, organisent une censure à peine déguisée.


Histoire

Création de la MPAA

En 1922, Hollywood est au centre d’un scandale : Fatty Arbuckle, un célèbre comédien, est suspecté du meurtre d’une starlette.

La ville du cinéma est alors mise sous la feu des projecteurs, à son grand dam, puisqu’elle y apparaît comme la ville du du vice (“Sin city”), aux yeux de l’opinion publique, qui appelle à une sorte de censure ou a minima à quelques régulations gouvernementales[1](en réalité une censure gouvernementale) sur les films.

De peur de devoir subir une censure de l’administration, sur laquelle ils n’auraient aucun pouvoir, les plus grands studios prennent les devants, avec les “Trois Géants” de l’époque en tête (Famous Players Lasky, Metro-Goldwyn, et First National, ainsi que Louis B. Mayer, entre autres) et décident de former la Motion Pictures Association of America (une association interprofessionnelle).

Afin de s’assurer le bénédiction gouvernementale, ils placent à la tête de la nouvelle organisation William H. Hays, le “Postmaster General” (Directeur des postes) du cabinet du président Harding. Sa nomination est due à deux facteurs : il disposait de nombreuses connexions à Washington du fait de sa carrière politique, et il avait été à la tête du parti républicain [2], ce qui était comme une assurance de ses positions conservatrices auprès de l’opinion publique.

La MPAA est composée des sept plus gros studios de Hollywood (Sony Pictures -propriété de SONY, Warner Brothers -appartient à TimeWarner, Walt Disney -filiale de The Walt Disney Company, Paramount -qui appartient à VIACOM,Universal -dont GE est propriétaire, et 20th Century Fox -possédé par News Corp). Ils contrôlent 95% du marché du film Américain.

La MPAA a d’abord pour but de vérifier au respect du “code de production Hays”, du nom de son président et rédacteur dudit code.

Le code de production

La création et les débuts du code

A l’époque de la nomination de Will H. Hays, plusieurs états avaient déjà institué une censure gouvernementale (huit, dont New York ou la Virginie) puisque la Cour Suprême avait considéré en 1915 que la liberté d’expression protégée par le 1er amendement à la Constitution ne devait pas s’étendre aux films[3].

En 1927, les plus grands studios éditèrent une liste de “Don’ts and Be Carefuls” (en français “les choses à ne pas faire et celles auxquelles il faut faire attention”).

Cette liste comprenait onze sujets à éviter absolument (comme le trafic de drogues, la ridiculisation du clergé ou encore l’esclavage des blancs), et vingt-six sujets à traiter avec la plus grande précaution, de manière à ne pas être vulgaire mais au contraire de bon goût (parmi eux l’utilisation du drapeau américain, les techniques de meurtre, les embrassades trop longues ou lascives…).

En 1927, Martin Quigley, éditeur d’un journal consacré au cinéma, et Daniel Lord, un prêtre jésuite, créèrent un code, listant les sujets bannis mais prévoyant parallèlement la promotion d’un code moral, spécifiquement basé sur l’idéologie chrétienne.

Après un lobby auprès de la MPAA, celle-ci adopta formellement le code le 31 mars 1930.[4]

Le code contient de nombreuses règles relatives à la manière de représenter et ne pas représenter des sujets tels que les crimes, le sexe, la nudité, la danse, la religion ou encore le patriotisme [5].

Toutefois, à ses débuts, le code ne faisait peur à personne et les studios jouaient à le contourner, puisque la vérification de la conformité des films au Code était faite par la détermination de si oui ou non un film était en accord avec “l’esprit et la lettre du code”, ce qui était bien trop vague pour que les producteurs ne contournent pas les règles.[6]

La stricte application du code

Mais en 1934, la liberté prend définitivement fin avec un amendement au code, adopté le 13 juin de cette année, qui instaure la PCA (Production Code Administration ou Administration du Code de Production en français), avec à sa tête Joseph Breen, un fervent catholique, pour veiller au respect du code.

Désormais, il n’est plus possible de sortir un film sans avoir reçu le “Certificat d’approbation” de la PCA, et les studios Hollywoodiens doivent se plier à l’application stricte du code.

Prenons pour exemple le film Casablanca (avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman) : l’une des plus célèbres scènes de l’histoire du cinéma, celle dans laquelle Bogart renonce à Ingrid Bergman à la fin du film, est due au code de production puisque, afin de le resepcter, il était impossible que les deux acteurs consomment à l’écran leur relation extra-maritale.[7]


La fin du Code de Production commença à se faire sentir à la fin des années 1940. En effet, l’arrêt de la Cour Suprême United States v. Paramount[8] interdit désormais au studios de posséder des cinémas, ce qui leur empêche donc d’interdire aux salles de diffuser des films étrangers qui, eux, ne sont pas soumis au code de production.

Puis, dans Joseph Burstyn, Inc. v. Wilson[9], la Cour Suprême a cassé sa décision de 1915 et a décidé que, finalement, les films devaient être considérés comme une expression protégeable par la liberté d’expression du 1er amendement de la constitution. Cet arrêt empêcha l’interduction du film L’amore de Roberto Rossellini.

Par la suite Otto Preminger, dont les films mettaient sans cesse le code a mal mais avaient parallèlement beaucoup de succès.

Ces éléments poussèrent la PCA à être de plus en plus flexible, réalisant que ces règles n’étaient plus en phase avec l’époque.

En 1954, Joseph Breen est remplacé par Geoffray Shurlock qui cède à la pression des studios et fait éditer une version révisée du code en 1956.

En 1959, tous les sujets, à l’exception de l’homosexualité, pouvaient être traités, à condition que des dilemmes moraux permettent d’avoir une idéologie adéquate.[10]

En 1966, le film Blow-up, sorti sans certificat de conformité au code connut un tel succès qu’il apparut clair à tout le monde que le code était devenu obsolète.

Une ultime version révisée du code fut publiée en 1966 mais dès 1968 le code était définitivement aboli, au profit d’un système de classification volontaire des films.

Création des ratings et de la CARA

Le 1er novembre 1968, le Code de production est officiellement remplacé par les classifications volontaires.

Ce système est l’oeuvre de Jack Valenti, président de la MPAA

Avec les classifications, a été créée la CARA (“Classification And Rating Administration” ou l’administration de classification et de notation), une subdivision de la MPAA qui s’occupe de classer les films.

Les classifications

Les anciennes classifications

G : General Audiences, ou “tous publics”, ce qui inclut les enfants M : Mature Audiences, les parents doivent faire attention R : Restricted, aucun enfant de moins de 17 ans (16 avant) ne peut rentrer si’il ‘est accompagné d’un adulte (dans certains cinémas l’adulte doit avoir plus de 21ans) X : les enfants de moins de 17 ans ne sont jamais admis.[11]

Très vite, M est remplacé par “GP : General Public”, les parents doivent conseiller leurs enfants, ce sigle devient ensuite “PG : Parental Guidance” en 1970.[12]

“PG-13” est introduit lorsque certaines scènes d’Indiana Jones et le Temple Maudit apparurent trop violentes pour un simple “PG” -mais pas assez pour mériter un R. PG-13 n’empêche pas les enfants d’aller au cinéma sans leurs parents, mais prévient ces derniers du degré de violence et de sexe présent dans le film.[13]

Au début des classifications, certains films tels que Orange Mécanique ou Midnight Cowboy reçurent un X, mais petit à petit cette classe s’est trouvé associée aux films pornographiques[14].

Le NC-17 fut introduit le 27 septembre 1990 pour différentier les films classifiés pour adultes par la MPAA des films “auto-classés” X par leurs producteurs[15].

Pour autant, comme on le verra ci-dessous, le stigma associé au X n’a pas disparu avec son remplacement par NC-17.

Les classifications en vigueur

G

G veut dire “General Audiences”, ou tous publics. Il est accompagné de l’explication suivante : “Ce film ne contient rien qui pourrait choquer les parents si leurs enfants voyaient ce film”.

Il peut y avoir des dialogues qui dépassent les “conversations polies” et de la violence très légère mais qui sera le plus souvent sous forme de dessin animé, et il n’y a pas de nudité, de sexe ou de drogues.

PG

PG veut dire “Parental Guidance”, ou Avertissement. La CARA précise : “Il est demandé aux parents d’user de leur pouvoir pour conseiller leurs enfants car ce film peut avoir du contenu que les parents n’aimeraient pas que leurs plus jeunes enfants voient”

Un film PG peut contenir quelques grossièretés (par exemple, “shit” et “ass” seront autorisés mais dans un nombre limité), de la nudité très brève (par exemple montrer des fesses une seconde), et de la violence légère. En revanche toute utilisation de drogue requiert au moins un PG-13.

PG-13

PG-13 veut dire Avertissement fort, des scènes peuvent être inappropriées pour les enfants de moins de 13ans.

Dans cette catégorie on peut trouver de l’utilisation de drogues, plus de grossièretés (ici “fuck” est autorisé mais dans le sens de “putain” et non pas de “coucher avec quelqu’un” et surtout, une seule fois, à partir de deux, on passe à R).

De la même manière, si il y a de la nudité dans le film ce ne sera pas dans un contexte sexuel.

R

R veut dire Restricted. C’est à partir de cette classe qu’il y a un contrôle à l’entrée de la salle puisque les enfants de moins de 17 ans ne peuvent voir ce film sans être accompagnés. Là encore, la CARA précise qu’il est recommandé aux parents de se renseigner sérieusement su le film avant d’y emmener leurs enfants.

Dans les films classés R on peut voir de la consommation de drogues, de la vulgarité et des grossièretés (ici “fuck” peut être utilisé dans son sens sexuel), de la violence dure, de la nudité dans un contexte sexuel, des dialogues portant sur le sexe.

NC 17

NC-17 veut dire Pas d’enfants de moins de 17 ans, accompagnés ou non, puisque la MPAA considère que le contenu du film n’est approprié que pour des adultes.

Dans cette catégorie de débauche, on trouve du sexe, de la violence et de la drogue à foison, ainsi que des comportements que la MPAA qualifie d’ “anormaux” sans toutefois donner plus de précisions.17

Not rated

Si le film n’a pas été soumis à la MPAA, il aura le label “Not rated” (pas classé) qui n’est toutefois pas une classification officielle de la MPAA.18

Le label sera également appliqué si un film “abandonne” sa classification puisque, commercialemet parlant, il est préférable d’être “unrated” que classé “NC-17”.


Le fonctionnement et l’administration des classifications

L’attribution de la classe

Les classifieurs

Les films sont classés par un comité de la MPAA, qui contient 8 à 13 membres qui sont des parents dont l’anoynmat est préservé.

D'après Jack Valenti, les membres de la CARA classifient les films d’une manière que le parent moyen verrait comme une représentation précise de ce film.

En 2005 le film This film is not yet rated avait réusssi à en identifier les membres, et à faire remarquer que les parents du comité de l’époque avaient presque tous des enfants de plus de 20 ans.

Soumission du film

Pour les films produits par les grands studios, membres de la MPAA, la soumission pour classification est obligatoire, sinon ils ne sortiront pas le film.

Pour ce qui est des films produits indépendemment, elle n’est pas obligatoire en théorie mais l’est presque en pratique tant il est difficile de faire de la publicité pour un film non classé.

Les suites de la classification

Modifications du film

Lorsque la MPAA classe un film en NC-17 elle indique, de manière vague ou précise selon la taille du studio producteur, quelles sont les éléments qui ont causé cette classification.

Puisque les classements NC=17 sont la lèpre des films, les réalisateurs doivent alors couper les scènes “génantes”.

Matt stone, prducteur de south park, raconte son expérience : lorsqu’ils ont fait un film financé de manière independante, ils ont eu un NC-17 et la CARA leur a dit “on donne pas de raisons speicifiques pour la classification parce que sinon ce serait considéré comme de la censure” ; mais 5 ans plus tard, ils font le film South Park avec Paramount (gros studio, membre de la MPAA), et là, la CARA leur a mis un NC-17 et donné une impressionante quantité de détails plein plein plein de details, commen “vous devez couper cette scène, enlever cette réplique, etc…”

On arrive alors à un paradoxe dans lequel les réalisateurs (Scorcese ou Tarantino parmi eux) tournent des scènes en plus, particulièrement violentes ou sexuellement explicites mais qui ne servent à rien, exprès, pour avoir des choses à couper et faire plaisir à la MPAA sans perdre les scènes de leur film qui leur tiennent vraiment à coeur[16].

Appel de la classification

Il est possible de faire appel de la classification du film, qui est alors revu par un autre comité spécifique aux appels, mais les décisions initiales ne sont que très rarement révoquées.

Notons que, en 2005 en tout cas, deux membres du clergé appartenaient au comité des appels[17].

Toutefois dans les exemples récents on peut citer Blue Valentine, qui s’était vu fustigé d’un NC 17 pour cause d’une scène de sexe oral et a gagné son R en appel.

L’impact des classifications

Une censure a peine masquée

Selon Jon Lewis, auteur, Hollywood v. Hardcore, “le système de classification actuel est une forme de censure d’une manière fondamentale car il catégorise les films avant leur sortie, et ils ne sont pas catégorisés par les gens qui les font mais par une poignée de personnes dont on ne saura jamais les noms”[18].

Et en effet, on peut se demander de quel autre nom que de celui de censeur on peut affubler un organisme qui dit aux réalisateurs quelles scènes couper pour être classé moins sévèrement et, en somme permettre au film d’avoir du succès….puisque si le NC 17 n’est pas, en théorie, une interdiction du film, en pratique, elle en est une, de par le boycott organisé que subit cette classe.

Un enorme impact commercial

Si un film est frappé d’un NC 17, c’est bien simple, personne ne le distribuera.

Si il est produit par un studio majeur, soit il ne le sortira pas, soit il forcera le réalisateur à le couper.

Encore pire, les plus grosse chaînes de supermarchés et vidéoclubs n’offrent pas à la vente ou la location les films ayant été classés NC 17.

Au box office, la différence entre un R et un NC 17 se compte en millions voire dizaines de millions de dollars, notamment parce que un NC 17 limite grandement la capacité à marketer le film[19].

Les controverses

L’anonymat des membres

L’anonymat des membres pose quelques problemes a pas mal de réalisateurs. Ils sont censés être des parents moyens, mais persone ne peut le vérifier. Comme on l’a dit plus haut en 2005 le réalisateur du film This Film is not yet rated, Kirby Dick, avait engagé un détective privé afin de découvrir leur identité, et avait pu montrer que presque aucun des membres n’avait d’enfants en bas age, autrement dit concerné par les classifications.

Le pouvoir des lobbies

La MPAA est influencée grandement par les lobbyes chrétiens et puritains, comme tout aux Etats-Unis d’ailleurs. Notons qu’en 2005 il y avant des membres du clergé parmi les membres de la MPAA (peut-être ont-ils été supprimés depuis que cette information a été rendue publique.)

Maintenant le fait de fumer des cigarettes dans les films peut être cause pour une classification plus dure.

Violence v. Sexe

La MPAA est beaucoup plus clémente envers les scènes de violence que les scènes de sexe parce que l’amérique est très puritaine (quatre fois plus de NC 17 sont dus au sexe qu’à la violence)[20].

Pour le sexe apparemment, il y a certaines règles à respecter pourespérer obtenir un R, comme être un peu loin de la scène, ou faire un plan sur les épaules ; il semblerait que la MPAA ait un nombre limite de mouvements de va et vient autorisé pour donner un R[21].

Dans Eyes wide shut de Stanley Kubrick, des figures capées ont été rajoutées numériquement par dessus les scènes de sexe de la scène d’orgie pour la version R.

Par ailleurs, la MPAA est beaucoup plus dure envers les scènes de sexe homosexuelles que hétérosexuelles.

Par exemplem But I’m a cheerleader de Jamie Babbit, a reçu un NC-17 à cause d’une scène de masturbation par dessus les vêtements ou rien n’est réellement montré, alors que dans la bande-annonce (!) de American Pie, on voit l’acteur principal fesses à l’air se masturber dans une tarte.

Il semblerait donc que la MPAA fasse deux poids deux mesures.

A titre d’exemple, les films suivant ont reçu des NC-17 pour des scènes de sexe : But I’m a cheerleader, Boys don’t cry, Where the truth lies, Mysterious skin, Henry & June.

D’autres films ont reçu un R malgré la présence des mêmes styles de scènes, filmées de la même manière : American Beauty, American Pie, Single wihte female, Infidèle, Sideways.

La différence ? La première catégorie ne contient que des scènes entre personnes du même sexe. CQFD ?

Conclusion

Quoi qu’il en soit, après plus de 40 années d’existence, il apparaît peu probable que ce système soit un jour aboli, mais on peut espérer qu’il s’assouplisse en même temps que les mentalités évoluent.

Liens Externes

  • [1]Site de la MPAA, définition des ratings

Références

  • [3]Mutual Film Corporation v. Industrial Commission of Ohio, 236 U.S. 230 (1915)
  • [5]Texte du Code de Production Hays
  • [8]United States v. Paramount Pictures, Inc., 334 US 131 (1948)
  • [9]Joseph Burstyn, Inc. v. Wilson, 343 U.S. 495 (1952)
  • [Id.]
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  • [Id.]
  • [Id.]
  • [This Film is not yet rated]
  • [Id.]
  • [Id.]
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  • [Id.]

Notes

  1. appel à régulations gouvernementales
  2. tête du parti républicain
  3. Mutual Film Corporation v. Industrial Commission of Ohio, 236 U.S. 230 (1915)
  4. adoption du code
  5. texte du code
  6. respect du code
  7. censure de Casablanca
  8. United States v. Paramount Pictures, Inc., 334 US 131 (1948)
  9. Joseph Burstyn, Inc. v. Wilson, 343 U.S. 495 (1952)
  10. application du code
  11. X
  12. PG
  13. Id.
  14. Id.
  15. Id.
  16. modification du film
  17. This film is not yet rated
  18. Id.
  19. Id.
  20. Id.
  21. Id.