Droit des successions (qc) : Différence entre versions
m (a déplacé Le Droit des Successions au Québec, Canada vers Droit des successions (qc)) |
|||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
− | + | {{ébauche (qc)}} | |
− | + | [[Québec]] > [[Droit privé (qc)|Droit privé]] > [[Droit civil (qc)|Droit civil]] > [[Droit des personnes (qc)|Droit des personnes]] | |
+ | [[Image:ca_qc_flag.png|framed|]] | ||
+ | [[Catégorie:Québec]][[Catégorie:Droit privé (qc)]][[Catégorie:Droit civil (qc)]][[Catégorie:Droit des personnes (qc)]] | ||
− | |||
− | |||
− | La succession est régie par les lois du lieu du dernier domicile du défunt. Elle sera ouverte au Québec, et le droit québécois trouvera application, si le défunt résidait dans cette province au moment de son décès. La validité du testament sera donc examinée en vertu des lois québécoises. Toutefois, en l'absence d'un testament, le partage de la succession est défini par la loi. | + | |
− | + | En 1994, le [[Code civil du Bas-Canada (qc)|Code civil du Bas-Canada]] a été remplacé par le [[Code civil (qc)|Code civil du Québec]] (C.c.Q). Cette réforme a emporté avec elle l'apparition de dérogations peu nombreuses, mais pas moins importantes, à la liberté absolue de tester. En effet, une [[personne (qc)|personne]] pourra toujours disposer de ses biens selon son gré sous réserve toutefois de prendre soin de ses proches. La [[loi (qc)|loi]] a donc prévu une protection du conjoint survivant ou des enfants par l'institution du [[patrimoine (qc)|patrimoine]] familial et de la survie des obligations alimentaires. La liberté de tester demeure un principe essentiel du système québécois malgré les quelques restrictions qui y ont été apportées au cours des années. | |
− | + | ||
+ | La succession est régie par les lois du lieu du dernier [[domicile (qc)|domicile]] du [[décès (qc)|défunt]]. Elle sera ouverte au [[Québec]], et le droit québécois trouvera application, si le défunt résidait dans cette [[province (ca)|province]] au moment de son décès. La validité du [[testament (qc)|testament]] sera donc examinée en vertu des lois québécoises. Toutefois, en l'absence d'un testament, le partage de la succession est défini par la loi. | ||
+ | |||
+ | =Sources= | ||
+ | * [http://www.lecourshebert.com/droit-des-successions-quebec-canada-avocat-lecours.html Le Droit des successions au Québec & Canada | Brève synthèse du droit des successions rédigée par Me Alain P. Lecours, avocat et Mme Alexandra Billet, stagiaire] | ||
+ | |||
+ | =Liens externes= | ||
+ | {{moteur (qc)|"Droit des successions"}} |
Version actuelle en date du 25 mai 2011 à 18:10
Cet article est une ébauche relative au droit québécois, vous pouvez partager vos connaissances juridiques en le modifiant, vous pouvez également faire une recherche dans le moteur...
|
Québec > Droit privé > Droit civil > Droit des personnes
En 1994, le Code civil du Bas-Canada a été remplacé par le Code civil du Québec (C.c.Q). Cette réforme a emporté avec elle l'apparition de dérogations peu nombreuses, mais pas moins importantes, à la liberté absolue de tester. En effet, une personne pourra toujours disposer de ses biens selon son gré sous réserve toutefois de prendre soin de ses proches. La loi a donc prévu une protection du conjoint survivant ou des enfants par l'institution du patrimoine familial et de la survie des obligations alimentaires. La liberté de tester demeure un principe essentiel du système québécois malgré les quelques restrictions qui y ont été apportées au cours des années.
La succession est régie par les lois du lieu du dernier domicile du défunt. Elle sera ouverte au Québec, et le droit québécois trouvera application, si le défunt résidait dans cette province au moment de son décès. La validité du testament sera donc examinée en vertu des lois québécoises. Toutefois, en l'absence d'un testament, le partage de la succession est défini par la loi.
Sources
Liens externes
- Trouver la notion "Droit des successions" dans l'internet juridique québécois